GHOST HOUSE est une installation de pièces textiles dont les subtiles références historiques, sociales ou spirituelles questionnent les cadres de la perception. Des fantômes peuplent ce salon hanté, leurs spectres habitent et transforment les objets. Ce lieu abrite des réunions secrètes pendant lesquelles des forces esthétiques font et défont les principes des réalités matérielles. Ghost House est composé d'œuvres de : Clement Valla, Jenna Kaës, Julien Colombier, Raphaël Barontini, Adulte Adulte, Lamarche-Ovize et de Studio GGSV.
(c) Nicolas Waltefaugle
DRY WATER met en scène la fascination d’une eau solidifiée, interprétée et néanmoins mouvante. Élément énigmatique, elle est ici représentée dans ses états liquides, solides ou gazeux - éminemment oniriques. Certaines pièces en trompe-l’oeil confondent les matières, les motifs et les supports. Le textile se liquéfie, se glace, s’évapore dans des nuances colorées et numériques qui semblent même leurrer le toucher. Dry Water est composé d'œuvres de : Malak Mebkhout, Lucy Hardcastle, Studio Twice, Sybille Berger, Raphaël Barontini et de Xenia Lucie Laffely.
(c) Nicolas Waltefaugle
DRESS CODE explore les faux-semblants de la mode. Entre les deux dimensions du textile et les trois dimensions du vêtement, les habits dressent des perspectives optiques et critiques. Le patron est dirigé par les effets des motifs appliqués au corps et en retour l’incidence du corps modifie les motifs. Ce jeu de passe-passe atteint son paroxysme lorsque l’impression de corps nues effacent jusqu’à son porteur même. Les visages des passants tapissés sont médusés par ce tour de prestidigitation. Dress code est composé d'œuvres de : Elsien Gringhuis & Aliki van der Kruijs, Das Leben am Haberkamp, Buro Belén, Wendy Andrey et Giada Ganassin, Romain Coppin et de Nicole Crême & Studio GGSV.
(c) Nicolas Waltefaugle
TECHNICOLOR présente la couleur comme une matière sculptable, la gouache est numérique. Les peintures à l’huile et acryliques deviennent des motifs digitaux. Hyperréalisme et expressionisme s’artificialisent dans des manipulations analogiques et numériques perpétuelles. L’abstraction colorée de TECHNICOLOR est la chambre des territoires infinis. Technicolor est composé d'oeuvres de : Aliki van der Kruijs, Laureline Galliot, Superpoly, Lou Buche, Studio Job et du Studio GGSV.
(c) Nicolas Waltefaugle
TECHNICOLOR présente la couleur comme une matière sculptable, la gouache est numérique. Les peintures à l’huile et acryliques deviennent des motifs digitaux. Hyperréalisme et expressionisme s’artificialisent dans des manipulations analogiques et numériques perpétuelles. L’abstraction colorée de TECHNICOLOR est la chambre des territoires infinis. Technicolor est composé d'oeuvres de : Aliki van der Kruijs, Laureline Galliot, Superpoly, Lou Buche, Studio Job et du Studio GGSV.
(c) Nicolas Waltefaugle
TECHNICOLOR présente la couleur comme une matière sculptable, la gouache est numérique. Les peintures à l’huile et acryliques deviennent des motifs digitaux. Hyperréalisme et expressionisme s’artificialisent dans des manipulations analogiques et numériques perpétuelles. L’abstraction colorée de TECHNICOLOR est la chambre des territoires infinis. Technicolor est composé d'oeuvres de : Aliki van der Kruijs, Laureline Galliot, Superpoly, Lou Buche, Studio Job et du Studio GGSV.
(c) Nicolas Waltefaugle
AFTER DINNER se composent et les matérialités s'intervertissent. Objet-pattern ou pattern-objet ? Le crochet de corde engloutit l’industrielle chaise plastique, la peau de cuir est le parchemin d’impressions numériques rupestres. Une invraisemblable fourrure de tortue en mohair, coton et lin suppose l’inévitable mutation. Les objets se transforment, les hommes disparaissent. After Dinner est composé d'oeuvres de : Robert Stadler, Maarten Baas, Xénia Lucie Laffely, Faye Toogood et d'Aurélie Mathigot.
(c) Nicolas Waltefaugle
Vue de l'exposition, Chaumont, novembre 2019
(c) Nicolas Waltefaugle
Our imagination is our greatest hope for survival, par Damien Poulain.
(c) Nicolas Waltefaugle
Our imagination is our greatest hope for survival, par Damien Poulain.
(c) Nicolas Waltefaugle
Our imagination is our greatest hope for survival, Damien Poulain, 2018.
(c) Nicolas Waltefaugle
Mother tongues and Father throats, Slavs and Tatars, 2012. Collection, objets imprimés, Festival Itinérant de Graphisme, Liège, 2017-2018.
(c) Nicolas Waltefaugle
Wall of Door and of Possibilities, Damien Poulain, 2019, Fox-Trot Lima Alpha Golf, Gauthier Plaetevoet, 2019, Felt Textile design, Begüm Cânâ Özgür, 2012, Crutpographer & Encoded textiles, Raw Color, 2012, Mother tongues and Father throats, Slavs and Tatars, 2012, Collection, objets imprimés, Festival Itinérant de Graphisme, Liège, 2017-2018, Daily pattern, Annika Syrjämäki, 2009-2010.
(c) Nicolas Waltefaugle
Wall of Door and of Possibilities, Damien Poulain, 2019, Felt Textile design, Begüm Cânâ Özgür, 2012, Crytpographer & Encoded textiles, Raw Color, 2012, Flags, collection 019, 2015-2019, Daily pattern, Annika Syrjämäki, 2009-2010, Topographie digitale, DataPaulette, 2019, Fragmented Memory xaa, Fragmented Memory xgo Philippe David Stearns, 2013, Tonotech, Claire Williams, Julien Poidevin, Alexandre Liziard, 2018- 2019.
(c) Nicolas Waltefaugle
Felt Textile Design, Begüm Cânâ Özgür, 2012.
(c) Nicolas Waltefaugle
Felt Textile Design, Begüm Cânâ Özgür, 2012.
(c) Nicolas Waltefaugle
Encoded textiles, Raw Color, 2012
(c) Nicolas Waltefaugle
Flags, collection 019, 2015-2019
(c) Nicolas Waltefaugle
Fragmented Memory xaa, Fragmented Memory xgo Philippe David Stearns, 2013.
(c) Nicolas Waltefaugle
Fragmented Memory xaa, Fragmented Memory xgo Philippe David Stearns, 2013.
(c) Nicolas Waltefaugle
Tonotech, Claire Williams, Julien Poidevin, Alexandre Liziard, 2018- 2019, Wall of Door and of Possibilities, Damien Poulain, 2019.
(c) Nicolas Waltefaugle
Collection, objets imprimés, Festival Itinérant de Graphisme, Liège, 2017-2018.
(c) Nicolas Waltefaugle
Mother tongues and Father throats, Slavs and Tatars, 2012.
(c) Nicolas Waltefaugle
Tonotech, Claire Williams, Julien Poidevin, Alexandre Liziard, 2018- 2019.
(c) Nicolas Waltefaugle
Fox-Trot Lima Alpha Golf, Gauthier Plaetevoet, 2019.
(c) Nicolas Waltefaugle
Topographie digitale, DataPaulette, 2019.
(c) Nicolas Waltefaugle
Topographie digitale, DataPaulette, 2019.
(c) Nicolas Waltefaulge
De toutes façons...
Design graphique et textile
Curator & Scenography
GGSV
Gaëlle Gabillet
Stéphane Villard
Curator & Scenography
Structure Bâtons
Lucile Bataille
Sébastien Biniek
The plasticity of fabric makes it possible for it to interact with its environment. Worn on bodies, flying in the wind, in three or just two dimensions, the designers play on these qualities. Graphic designers, whose art consists in laying out messages, indulge in taking up this medium and imagine flags, diverted garments or trompe l’œil finery.
The first part of the exhibition designed by the studio GGSV, designers, artists and residents at the Villa Medicis, immerses the visitor into a succession of five phantasmagorical period rooms, from the Haunted House to the Technicolor room, each staging about ten works. These textile objects question the notions shared by graphic and textile design, namely of their use, representation, texture and pattern.
The stories evoked through all these heteroclite works together are accompanied by a text by the author Laure Limongi.
PART I : Period rooms
Wendy Andrey, Giada Ganassin, Maarten Baas, Buro Belén, Sybille Berger, Raphaël Barontini, Lou Buche, Romain Coppin, Das Leben am Haverkamp, Laureline Galliot, Studio GGSV, Elsien Gringhuis, Aliki van der Kruijs, Aurélie Mathigot, Malak Mebkhout, Lucy Hardcastle, Studio Job, Xenia Lucie Laffely, Superpoly, Nicole Crême, Robert Stadler, Faye Toogood andStudio Twice are featured in the installation Ghost House, Dry Water, Technicolor, Dress Code and After Dinner by Studio GGSV
In response to these visual atmospheres, the second part of the exhibition, designed by Structure Bâtons, two graphic designers, reveals the methods textile and graphic design have in common by highlighting a new generation of graphic designers. Their works are deciphered according to their conception and production methods, the lines taken, the challenges met, pointing out the pertinence of singular creative approaches and outlining the mutations of a discipline without boundaries.
Part II
The course Textile as medium/ as code/ as message/as production, by Structure Bâtons, features works by :
Damien Poulain, Begüm Cânâ Özgür, Datapaulette, Raw Color, Annika Syrjämäki, Gauthier Plaetevoet, Slavs and Tatars, Clair William, Julien Poidevin, Alexandre Liziard, Philippe David Stearns
The collection ofFig. Festival international de graphisme of Liège, made of flags designed by Stéréo Buro, Supero, François Godin, NNStudio snc, GR20, Samuel Eckert, Jan en Randoald, Velvetyne, Amina Saadi, Vincent Mathy, Structure Bâtons, Brusatto, Château Fort Fort, Loraine Furter, Benoît Bodhuin, Studio Feed, Félicite Landrivon, Signes du quotidien, Or Type, Tom Henni, pleaseletmedesign, Ines Cox and Sarah Boris
The collection of 019 - Museum of Moving Practice (Gand, Belgique) made of flags by Åbäke, Zak Kyes, Olivier Koethals, Guang Yu, Thais Dupont, Jon Sueda & Christopher Hamamoto, Werkplaats Typographie, Bert Huyghe, Ines Cox, Paul Elliman, Dae Sime & Jun Huo, Lisa Van Hoecke, John Morgan, Telma Lannoo, David Kalata, Joris Kritis & Julie Peeters, Karel Martens, Peter Nencini, Office ABC, Shim Daeki & Shim Hyojun, Michael Bussaer, Febe Man, Victor Sirot andExperimental Jetset.
L'exposition De toutes façons... Design graphique et textile is supported by the Fondation d'entreprises AG2R LA MONDIALE pour la Vitalité artistique